Imparfait

Simulation adaptée du jeu de l'alibi, où les apprenants se divisent entre suspects et policiers pour résoudre un crime.

Une activité ludique pour déclencer des échanges entre les apprenants au sujet de leur vie et leurs souvenirs.

Activité de compréhension orale sur cette chanson et d'observation de l'alternance présent / imparfait dans les paroles.

Fiche de grammaire pour systématiser l'usage de l'imparfait à l'oral.

Une séquence d'activité pour parler des souvenirs d'enfance, avec comme élément déclencheur la chanson "on savait".

Séquence d'activités sur les souvenirs, comprenant une compréhension orale d'une interview de Juliette Binocche qui évoque des souvenirs de sa carrière, et une activité de production orale où les apprenants imaginent et réalisent une interview d'une star.

Activité d'expression orale pour faire décrire aux apprenants des métiers disparus, en s'inspirant de celui de speakerine présenté dans une vidéo de l'INA et d'une liste et description écrites comprenant d'autres exemples.

Marie-Thérèse habite dans le Sud-ouest de la France. Elle est maintenant retraitée. Elle est 14 fois grand-mère et 12 fois arrière-grand-mère. Elle raconte ses souvenirs des Noëls d'autrefois.

Activité d'expression orale utilisant une émission de Karambolage sur le goûter pour inciter les apprenants à raconter des souvenirs d'enfance.

Activité amenant les apprenants à décrire le contenu d'une boîte à souvenirs.

Fiche de grammaire pour systématiser l'usage des temps du passé à l'oral.

Collection d'extraits vidéos issus de corpus de vidéos du quotidien illustrant un phénomène linguistique. L’imparfait est enseigné en FLE comme le temps utilisé pour décrire une habitude dans le passé ou une situation, un contexte dans un récit au passé. A l’oral, il est aussi le temps que l’on utilise pour « adoucir » l’effet autoritaire d’une requête. La demande, l’ordre ou la volonté deviennent un souhait. L’imparfait fonctionne comme une précaution oratoire d’usage, assimilable à une formule de politesse, relativement standardisée. C’est pourquoi les formes les plus fréquentes sont : je voulais + syntagme nominal / je voulais ou c’était pour + proposition infinitive Cette forme est plus rare et peut-être encore plus douce (du point de vue interpersonnel) que son équivalent, le conditionnel. La collection est organisée de la manière suivante : l'imparfait dans les commerces / l’imparfait dans les conversations familières et formelles.